Comme chaque année, Astrakhan s’est envolé à la découverte de nouveaux horizons !
Cette année, destination Dubrovnik, Croatie.
On vous raconte ce qui s’est passé !
Vendredi 18 octobre
10:00 – Paris subit une nouvelle fois la grève des transports. Après plusieurs minutes de doute et d’angoisse, tout le monde se retrouve à l’aéroport. Parmi les anciens Astrakhaners se mêlent de nouvelles têtes récemment arrivées. Les rencontres et retrouvailles débutent. Nous nous préparons à décoller. Il est midi.
14:00 – Nous venons d’arriver. Nous avons laissé la grisaille parisienne derrière nous. Notre guide, Vesna, nous accueille le sourire aux lèvres et dans un français impeccable. Nous montons dans le car, direction la vieille ville avant notre première activité : le kayak.
16:00 – Nous enfilons nos tenues ainsi que nos gilets de sauvetage et sautons en binôme dans un canoë pour une excursion de deux heures au départ du port de Pile. Pagayes à la main, nous redoublons d’efforts pour faire le tour de l’île de Lokrum et observer le coucher du soleil.
18:00 – Après autant d’efforts, récompensés par une vue imprenable sur la mer, il est temps de reprendre la route, direction le Dubrovnik Palace, l’hôtel dans lequel nous allons séjourner.
Nous avons sur place deux heures pour nous reposer et nous préparer avant d’aller diner.
20:00 – Nous arrivons au Banje Beach, restaurant situé au bord de l’eau. Nos tables nous attendent. Au menu : assiette du pêcheur, loup de mer et Rožata, dessert traditionnel.
Le ventre bien rempli, il est temps d’aller s’amuser. Nous aurons le temps de nous reposer plus tard.
Nous allons pour la plupart au club du restaurant, tandis que d’autres prennent la route du Beer Factory Dubrovnik afin de gouter aux bières locales.
Samedi 19 octobre
9:30 – La nuit fut courte mais il est temps de rejoindre le car pour attaquer notre deuxième activité : le quad !
Nous arrivons au village de Celopeci où les moniteurs nous attendent. Nous enfilons nos casques et montons à deux sur nos véhicules. Nous arpentons les routes sinueuses de la Croatie et découvrons sur notre chemin des paysages à couper le souffle. Direction le Mont Srd pour profiter d’une vue panoramique sur toute la ville.
13:00 – Il est temps de remonter sur nos quads, pour aller déjeuner au Konoba Dubrava.
Nous débutons par un mélange de fromages et charcuteries de la région. S’en suit la Peka du Biokovo, un mélange de viande et de pommes de terre cuit sous un couvercle appelé « peka » et recouvert de braises.
Nous finissons notre dégustation par la visite de la cuisine où nous attend le chef qui nous explique ce mode de cuisson très répandu dans les pays d’ancienne Yougoslavie.
15:00 – Nous laissons les quads pour reprendre le car de retour à Dubrovnik pour une visite insolite de la vieille ville, toujours accompagnés de notre guide. Nous apprenons alors de nombreuses anecdotes et faits historiques liés à la ville.
Certains d’entre nous finissent la visite par une dégustation de glace à l’orange amère, typique de la région, avant de profiter d’un moment de temps libre.
18:00 – Nous rentrons nous préparer pour assister à la prise de parole des associés, de l’équipe RH et managers dans la salle de réunion de l’hôtel, le tout accompagné d’un délicieux cocktail.
L’équipe partage avec nous le tournant que souhaite prendre l’entreprise pour l’année 2020.
20:30 – Nous prenons la direction de la péninsule de Lapad, pour profiter de notre dernier diner au restaurant Okra.
23:00 – De retour à l’hôtel, nous nous retrouvons tous autour de la piscine pour terminer la nuit en beauté.
Dimanche 20 octobre
08:00 – Une nouvelle fois, la nuit fut courte et le gigantesque petit-déjeuner de l’hôtel se fait indispensable. Nous profitons des dernières heures qu’il nous reste pour nous baigner et faire un tour au spa.
12:30 – Nous libérons les chambres et disons au revoir à Vesna. Il est temps de rejoindre l’aéroport.
17:30 – Nous sommes de retour à Paris après un vol turbulent mais qui n’a pas empêché la plupart de dormir. Nous nous quittons des souvenirs plein la tête, déçus de retrouver la grisaille parisienne mais impatients de nous reposer.